Lutte : la police suspend la sécurisation des combats

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Gros coup d’arrêt pour la lutte : la police nationale a décidé de ne plus assurer la couverture sécuritaire des combats de lutte.

La mort du jeune Babacar Diagne semble être la goutte qui a fait déborder le vase. Une suspension jusqu’à nouvel ordre qui vise sans doute à mettre le Cng de lutte devant ses responsabilités. Car le désordre est total aussi bien dans la jauge que dans les tribunes ou encore à l’extérieur de l’Arène nationale après les combats. Plus tôt, en conférence de presse, des députés de Pikine ont dénoncé la série d’agressions et comptabilisé 17 morts depuis l’inauguration de cette infrastructure dédiée en avril 2018.

Même les lutteurs ne sont pas épargnés. Tombeur de Ama Baldé, ce dimanche, Franc a dit être victimes de jets de oierres en passant dans les rues de Guédiawaye. C’est ce qui a d’ailleurs retardé son arrivée au stade. Dans un communiqué, le ministère de la Jeunesse, des Sports et de la Culture a déploré les incidents malheureux et appele les populations, la jeunesse en particulier, à la retenue.

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